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de Chambourcy et d’Aigremont

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Repères :



Section du Parti Socialiste de Chambourcy et d'Aigremont

Vous qui vivez dans la 6ème circonscription des Yvelines
dont le député est Pierre MORANGE ...


Vous qui vivez à CHAMBOURCY, dont le Maire est Pierre MORANGE ...

Sans doute avez-vous des opinions à faire valoir, des remarques à formuler, des critiques à émettre, des souhaits à exprimer ...

Vous pouvez contacter Claude VAN DE VELDE, candidate (suppléante) du Parti Socialiste dans la 6ème circonscription des Yvelines, secrétaire de la section du Parti Socialiste de Chambourcy et Aigremont :
claude.vandevelde@gmail.com


Ou l'association (Loi 1901) à votre disposition pour vous permettre d'échanger librement sur les choix de société qui vous concernent :

Les amis du Parti Socialiste de Chambourcy et Aigremont

Didier LEBAILLY - 3 Ruelle de l'Hérault - 78240 Chambourcy :

d.lebaillypschambourcy@neuf.fr



Et bien sûr, faire part de vos commentaires sur les textes publiés sur ce Site

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Chambourcy Socialiste
La publication de la section du Parti Socialiste
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Toujours plus de pollution diésel avec Pierre Morange et Emmanuel Lamy !

(15/12/2013)

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Municipales 2014 :
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Analyses des résultats et bilan de la participation des socialistes à la campagne
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Chambourcy : l'élection du député confirmée
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Presidentielles et legislatives 2012 : Quand l'UMP et Pierre Morange perdent leurs nerfs ...

(06/2012)

Navettes Chambourcy/Saint Germain.pdf
(20/10/2011)
Transports : Lettre ouverte à Pierre Morange
(15/09/2011)

Savez-vous que vous pouvez adresser un message électronique à Pierre Morange, pour lui faire part de votre satisfaction du service rendu sur la ligne R4 ?

Site Internet : "Mairie de Chambourcy" - Rubrique "Contacts - Envoyer un courriel au Maire"

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Actualités :

Pierre Morange et Emmanuel Lamy
(Maires UMP de Chambourcy et St Germain) à contre courant de la lutte contre la pollution...

Cliquer sur le lien ci-dessous :
La région Ile-de-France se dirige vers la fin des bus diesel Les Échos

Sauf sur la ligne R4 Chambourcy-St Germain, les municipalités UMP, non contentes d'avoir réduit les rotations quotidiennes de 67 (en début de mandat), à 37, aujourd'hui, ont remplacé les bus "propres" au gaz, en service jusqu'ici, par des voitures diésel !

Sans compter que le précédent matériel était fabriqué par Heulliez (vous savez, cette Entreprise française au bord de la disparition) et que les véhicules de remplacement sont fabriqués par... Mercédes !

Elle n'est pas belle la vie ?

Toujours plus de pollution diésel sur nos communes ? Votez Morange/Lamy, votez UMP.

Acheter allemand pour mieux couler une Entreprise française ? Votez Morange/Lamy, votez UMP !
(15/12/2013)


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Section 3

Politique nationale et internationale

mercredi 31 décembre 2008

Crise économique et Sociale : Le PS réagit

Les chiffres du chômage qui viennent d’être rendus publics sont particulièrement alarmants :

Avec 64 000 demandeurs d’emplois en plus, notre pays vient de connaître la plus forte hausse du chômage de toute son histoire. En quatre mois, 160 000 chômeurs sont venus grossir les rangs de l’ANPE.

La gravité exceptionnelle de la crise économique attestée par ces nouveaux chiffres contraste avec l’extraordinaire faiblesse du plan de relance de la France. Avec seulement 4 à 5 milliards d’euros de crédits nouveaux et l’absence quasi totale de mesures de soutien au pouvoir d’achat, il n’est en rien susceptible de faire repartir notre pays dans le bon sens.

Le gouvernement doit cesser ses discours lénifiants sur une prétendue moindre exposition de la France à la crise. La situation est inverse : la crise financière est intervenue alors que notre pays avait été affaibli par la politique économique aussi inefficace qu’injuste menée par Nicolas SARKOZY. Le chômage a entamé sa hausse début 2008 et la baisse du PIB date du second trimestre 2008.

Combien faudra-t-il de dizaines de milliers de chômeurs en plus avant que le gouvernement se décide à réagir ? Le Parti Socialiste demande au président de la République de décider de toute urgence d’un nouveau plan de relance, véritable celui-ci, et enfin à la hauteur des difficultés auquel notre pays est confronté.

Le Parti Socialiste a déjà fait des propositions sur la relance à court terme du pouvoir d’achat et de l’investissement ; il en fera de nouvelles le 20 janvier prochain pour accompagner les secteurs en difficulté et éviter les nouvelles vagues de licenciements.

Dores et déjà, le Parti socialiste réitère sa demande d’une relance vigoureuse du pouvoir d’achat avec des mesures applicables immédiatement : hausse du SMIC au premier janvier accompagnée de négociations salariales dans les entreprises dans les six mois sous peine de suppression des exonérations de cotisations salariales, baisse de la TVA sur les produits de première nécessité, remboursement de 50% des abonnements de transport en commun, augmentation sensible des minima sociaux et des retraites. S’agissant des investissements, le Parti socialiste souhaite notamment l’engagement immédiat d’un plan de construction de 300 000 logements sociaux et une hausse des dotations aux collectivités locales qui portent 75% des investissements publics.

Ce sont plusieurs dizaines de milliards d’euros de crédits réellement nouveaux qu’il convient de mobiliser, et de financer par une annulation de la loi TEPA ainsi qu’une réduction des niches fiscales, en progression de 20 milliards d’euros depuis 2002.

Martine AUBRY, Première secrétaire du Parti Socialiste

31/12/08

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lundi 29 décembre 2008

Santé Publique

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Patrick Pelloux n'en peut plus, et éclate en direct.









Le président de l'association des médecins urgentistes de France a réagi sur BFM TV à la mort samedi soir à Massy d'un homme qui a dû attendre six heures avant de trouver une place à l'hôpital...

Morceaux choisis...

"Qu'est-ce qu'on peut, nous, à part dire que ça ne va pas?"

"Il parait maintenant que les pouvoirs publics inventent des lits a posteriori! C'est merveilleux, d'où les sortent-ils? Pour eux, c'est le monde des Bisounours, ce sont des gens de bureaux, pas des gens de terrain, un jour il faudra arrêter les guéguerres, se mettre autour de la table et trouver des solutions pour les malades!"

Voir la vidéo : Patrick Pelloux: 'On se fout de notre gueule!'


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dimanche 28 décembre 2008

Fusion Départements/Régions

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Une «réforme» qui peut cacher des dommages co-latéraux dans les Yvelines ... et sur notre canton !












Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP, a assuré lors d'un débat UMP-PS-MoDem sur Europe 1, que la fusion des départements et des régions était «pour bientôt».

L'organisation actuelle, a-t-il fait valoir, est marquée par «des gabegies». «Elle coûte très cher au pays». Edouard Balladur, à la tête d'une commission ad hoc, devrait faire des propositions allant dans le sens de cette «réforme exceptionnellement importante» sur les collectivités locales. Frédéric Lefèvre est allé encore plus loin en annonçant, également, des «regroupement d'un certain nombre de régions»Le tout alors même que les travaux de la Commission Balladur ne sont pas achevés, comme le lui a fait remarquer Benoît Hamon, porte-parole du PS , en s’interrogeant sur l’utilité de cette structure.

Frédéric Lefèvre a insisté sur l’incohérence, à ses yeux, de «deux niveaux de collectivités qui s'occupent de politiques entremêlées. Personne n'y comprend rien».

Hors la méthode, qui une fois de plus montre que toute «concertation», avec ce Pouvoir, n’est jamais autre chose qu’alibi et caution donnée à une politique préétablie, on peut aussi s’interroger sur la manière dont seront réalisées ces «fusions» des Conseils Généraux (dont certains sont à Droite), alors que les Conseils Régionaux, eux, sont pratiquement tous à Gauche ! Manipulation politique avant les prochaines Régionales ? On ne peut l’exclure.


Une, en tout cas, qui devrait trouver la potion amère, c’est Catherine Péricard, notre Conseillère cantonale. Le chômage serait-il au bout du chemin ? Au plus vif déplaisir de Pierre Morange ?

Allez savoir …


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vendredi 26 décembre 2008

Indépendance de la Justice ?


Atteintes aux libertés publiques


Je m’inquiète des atteintes aux libertés publiques qui se multiplient dans notre pays, que ce soit la mise sous tutelle de l’audiovisuel ou les dysfonctionnements de la justice.

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Celle-ci est-elle encore indépendante quand des instructions individuelles sont données au Parquet et que les magistrats sont rappelés à l’ordre ?

;
Peut-on parler de justice quand les mêmes règles ne sont pas appliquées à tous ? La grâce partielle accordée à M. Marchiani est d’autant plus injustifiable que le Président refuse des réductions de peines et des remises en liberté anticipées même pour des faits mineurs. Où est l’égalité des citoyens devant la justice au moment où le gouvernement fait voter des peines planchers en cas de récidive, y compris pour des petits délits, et que le ministère de la justice presse les magistrats de les appliquer strictement ?

!

Au même moment, on ne compte plus les atteintes à la présomption d’innocence et au secret de l’instruction comme cela a été le cas pour les mis en examen de Tarnac et aujourd’hui pour Julien DRAY, ou les atteintes à la liberté de la presse avec l’interpellation inouie de Vittorio de Filippis, l’ancien directeur de publication du journal Libération.

!

Ces pratiques sont indignes de la France.

:

J’en appelle, au nom du Parti Socialiste, au Président de la République, garant de l’indépendance de la justice, pour rétablir le strict respect des droits et libertés dans notre pays.

!

Communiqué de Martine AUBRY

Première Secrétaire

:

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mardi 23 décembre 2008

Régionales : l'UMP hésite

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La Droite cherche sa tête de liste pour les Régionales

Le secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement Roger Karoutchi déposera ce mardi sa candidature aux primaires de l'UMP pour la tête de liste aux élections régionales de 2010 en Ile-de-France.

Roger Karoutchi devrait affronter dans cette primaire la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse, qui brigue également la tête de liste UMP.

La droite s’agite dans la perspective des Régionales.

En Ile de France, comme dans les autres régions administrées par la Gauche (la quasi-totalité), la bataille électorale risque d’être rude. L’avantage des exécutifs sortants (PS et ses alliés), est qu’ils ont fait la preuve que, malgré les continuels «bâtons dans les roues» de la Droite (comme les transferts de charges, sans les transferts des ressources correspondantes …), on pouvait mener une politique volontariste résolument de gauche, au bénéfice des plus faibles et des classes moyennes (comme y réussissent Jean Paul Huchon et ses soutiens), même dans un contexte politique difficile, où la politique gouvernementale suit une orientation diamétralement et cyniquement opposée.

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Crise économique


Un avenir sombre


Confronté à une crise sans précédent depuis la Grande Dépression des années trente, Nicolas Sarkozy, président du pouvoir d'achat déterminé à aller chercher la croissance "avec les dents", est aujourd'hui contraint de faire le dos rond malgré un quinquennat placé sous le signe du réformisme volontariste.


Le pouvoir d'achat longtemps rogné par l'envolée des prix est maintenant plombé par la montée du chômage et la France enregistrera, comme les principales économies industrialisées, une croissance négative en 2009.


Dans sa note de conjoncture publiée vendredi, l'Institut national de la statistique anticipe une contraction de 0,8% du produit intérieur brut au quatrième trimestre 2008, qui limiterait la croissance à 0,8% sur l'ensemble de l'année.

L'Insee voit le taux de chômage remonter à 8,0% en France métropolitaine en juin 2009, alors qu'il avait touché début 2008 un plus bas de 25 ans de 7,2%.


Malgré une présidence française de l'Union européenne largement saluée comme un succès, le chef de l'Etat n'est pas parvenu à atténuer les inquiétudes.


Sa cote de popularité marque le pas et l'opinion préoccupée par les risques de crise sociale n'entretient guère d'illusions sur les effets du plan de relance de 26 milliards d'euros détaillé vendredi en conseil des ministres.

Selon un sondage Ifop réalisé les 11 et 12 décembre pour Sud-Ouest, 72% des personnes interrogées exprimaient la crainte que des événements identiques à ceux connus par la Grèce actuellement surviennent en France.


Le baromètre BVA-France Inter-Les Echos de la politique économique du gouvernement pour le mois de décembre montrait quant à lui qu'un Français sur deux anticipe pour les mois à venir une explosion sociale majeure avec risque de paralysie du pays comme lors des grandes grèves dans les transports de 1995.


Les économistes ne sont guère plus enthousiastes sur le plan de relance.


"Le quatrième trimestre 2008 est marqué par un véritable effondrement de l'économie dans beaucoup de secteurs", relève Nicolas Bouzou, économiste du bureau d'analyse indépendant Asteres qui fait état de contractions d'activité de 20%, 30% voire 50%.


"Aujourd'hui nous sommes dans l'effondrement et il va durer jusqu'au premier semestre de l'année prochaine, la crise passant par une nouvelle phase dans les premiers mois de 2009 avec une vague de défaillances d'entreprises.


Le plan de relance jouera un rôle d'amortisseur, mais son "impact global sera limité par l'ampleur de la chute de la confiance" des ménages comme des entreprises, préviennent les économistes du Crédit agricole dans une note publiée le 8 décembre.


Certes le gouvernement n'a pas exclu un second plan de relance si nécessaire mais la situation des finances publiques limite les marges de manoeuvres.


Selon le ministre du Budget, Eric Woerth, le déficit public de la France atteindrait 3,9% du PIB l'année prochaine après prise en compte des mesures annoncées mais sous l'hypothèse d'une croissance comprise entre 0,2% et 0,5% à laquelle le gouvernement n'a pas renoncée.


On peut aller jusqu'à 5%, 5,5% de déficit public mais l'on atteint des niveaux problématiques en termes de dette , prévient Nicolas Bouzou.


Source :

Reuters


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samedi 20 décembre 2008

Soutenir les étudiants, les lycéens et les enseignants est notre Devoir

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Une opposition Responsable






















Dans un entretien au Parisien/Aujourd'hui en France, Martine Aubry juge insuffisant le plan de relance mis en place par le président de la République pour contrer la crise.

"Le plan de Nicolas Sarkozy porte de manière très limitée sur des investissements qui sont à moyen et long terme", dit-elle, évoquant un "plan de relance qui en réalité n'en est pas un".

"Le soutien à la consommation est le grand oublié, alors que le pouvoir d'achat des salariés comme des retraités constitue une faiblesse majeure de notre économie et la principale difficulté des Français".

"Sur les 27 milliards, les crédits nouveaux représentent à peine cinq milliards. La presse étrangère désigne la France comme le mouton noir de l'Europe et le pays qui n'a pas pris la mesure de la crise", constate Martine Aubry.

Dans le même article, le première secrétaire du PS répond aussi aux reproches de certains membres de la majorité, dont le Premier Ministre, sur son soutien au mouvement de colère des lycéens, qui ont manifesté en masse jeudi dans toute la France.

"Nous sommes une opposition responsable",rétorque Martine Aubry. "Quand il a fallu soutenir le gouvernement pour éviter que les banques s'effondrent nous l'avons fait. Mais soutenir les parents, les enseignants, les lycéens et les étudiants est notre devoir", ajoute-t-elle.

A ses yeux, la politique du gouvernement a contribué à plonger les Français, toutes catégories sociales confondues (moins la petite frange la plus largement privilégiée) dans l'angoisse.

"On ne peut jamais souhaiter une explosion sociale dans son pays. Mais en servant les plus riches et ne donnant rien ou si peu aux autres, Nicolas Sarkozy a créé une situation d'inégalités qui plonge les Français dans un état d'angoisse sans précédent".

Les français auront-ils les moyens d’attendre 2012 pour rejeter une politique de caste qui nuit au plus grand nombre, tant la misère est croissante dans la population ?

Source :
Reuters


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vendredi 19 décembre 2008

Région IdF : Budget 2009


Le Conseil Régional adopte le budget 2009

de l'Ile de France à une très large majorité
:








En cette période de crise, c’est un budget
«volontariste» de 4,5 Mds d’euros, en progression de plus de 4% qui a été adopté pour la Région Ile de France. C’est-à-dire que l’investissement, la commande et la solidarité publique vont être en mesure d’évoluer plus fortement que l’inflation.
!
Ce volontarisme de gauche, levier de la relance, et outil de régulation et de protection sociale, contraste avec la passivité et la politique de restriction ou de rigueur du gouvernement Sarkozy/Fillon.
!
Ainsi, et contrairement à tous les engagements pris, l’écart entre dotations budgétaires et transferts de compétences se creuse chaque jour davantage, au détriment des collectivités locales et territoriales.
:
Les priorités régionales, sous l’impulsion de Jean Paul Huchon, Président Socialiste de la Région, continuent à être soutenues et encouragées : les transports, l’environnement, la formation et les lycées. La Région, malgré la crise, poursuit sa politique visant à aider les franciliens à faire face aux difficultés du quotidien, et à préparer l’avenir.
:
Source :
Cabinet de Jean Paul Huchon
:
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mercredi 17 décembre 2008

Manifestations lycéennes

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Réforme Darcos : Vigilance !


Le gouvernement a une stratégie vis-à-vis de ce projet et il ne faut certainement pas y voir un renoncement ou un recul.

Nous ne pensons pas qu’il faille baisser la garde et cesser d’être vigilant tant ces choix se traduisent par un recul du nombre de postes d’adultes et d’enseignants dans les collèges et les lycées, et surtout une dégradation des conditions d’enseignement tant pour les élèves que pour le personnel éducatif.

Un report de cette réforme ne signifie pas un renoncement par le gouvernement de Nicolas SARKOZY de ses grands choix de politique éducative.

On a constaté une humeur bien différente chez les parents d’élèves et chez les enseignants, dans les manifestations qui se sont déroulées. Il y a une forme de ras-le-bol à l’égard des collèges et des lycées qui paient aujourd’hui l’austérité budgétaire. On na pas le sentiment que ceux qui ont commencé cette mobilisation soient prêts y renoncer, au motif qu’un tout petit bout du projet a seulement été reporté.

L’ordre du jour reste à la mobilisation politique.

Point de Presse de Benoît Hamon Porte-parole du PS

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lundi 15 décembre 2008


Sarkozy et Darcos reculent sur les lycées

Face aux risques d'embrasement social, le gouvernement a reculé sur sa réforme des lycées, mais d'autres nuages se profilent avec la menace d'un conflit social fort dès le début 2008.
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Les huit fédérations syndicales ont ainsi appelé lundi à une grève nationale le 29 janvier pour interpeller les pouvoirs publics et le patronat au moment où les plans sociaux se succèdent dans un pays fragilisé par la crise.
!
Dans ce contexte, le ministre de l'Education, Xavier Darcos, a annoncé qu'il préférait reporter une partie de la réforme du lycée - sur la classe de seconde, dernière du tronc.
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L'emballement de la mobilisation lycéenne contre les projets de Xavier Darcos a surpris les syndicats lycéens eux-mêmes.
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Xavier Darcos, qui avait jusque-là martelé les messages de fermeté et qualifié l'agitation lycéenne "d'habituelle", s'est défendu d'avoir agi sur injonction de Nicolas Sarkozy, reconnaissant toutefois avoir "consulté plusieurs fois le président de la République" pour obtenir "son accord".
;
Sur le front des entreprises, le leader de la CFDT François Chérèque a lancé lundi une mise en garde sur le "sentiment d'injustice extraordinaire" des salariés face à la crise, un thème déjà évoqué dimanche par le "patron" de la CGT Bernard Thibault.
:
"Les problèmes qui sont posés par la crise économique pèsent de plus en plus en France", a-t-il dit sur LCI, jugeant le plan de relance annoncé par Nicolas Sarkozy "insuffisant", en particulier sur la consommation des plus modestes.
:
Bernard Thibault, a fustigé les constructeurs automobiles français, ainsi que le sidérurgiste Arcelor Mittal pour les plans de suppressions d'emploi annoncés "pour maintenir leurs marges à tout prix".
:
Les syndicats CGT, CFDT Force ouvrière, FSU, Solidaires, Unsa, CFTC et CFE-CGC appellent "à agir massivement" autour d'une série de revendications, de la défense de l'emploi privé et public à la lutte contre la précarité et les dérèglementations.
:
"Ce n'est quand même pas si fréquent que tous les syndicats ensemble interpellent les pouvoirs publics", a déclaré Jean Grosset secrétaire général adjoint de l'Unsa.
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"Economiquement ça va mal, socialement ça ira très mal, et il est fort probable que la politique gouvernementale ajoute la crise à la crise", a renchéri Benoît Hamon, porte-parole du Parti socialiste, sur France 2.
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«Quand on ajoute le travail le dimanche, la retraite à 70 ans à une situation qui est une situation déjà extrêmement explosive, tant dans le public que le privé, chez les jeunes comme chez les moins jeunes, on a une situation de poudrière sociale évidente».
!
Source : Agence reuters
!
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vendredi 12 décembre 2008

La Poste : une négociation en trompe l’œil.

Pour protester contre les préconisations du pré-rapport de la commission Ailleret, qui, alors que les négociations sont théoriquement toujours en cours, se prononce, d’ores et déjà, en faveur de l’ouverture du capital de l’entreprise publique, la CGT, après FO, la CFTC, et SUD, a décidé de claquer la porte, aujourd’hui mercredi 10 décembre, estimant que les travaux de la commission n’avaient d’autre but que de servir d’alibi à la mise en œuvre de la privatisation, déjà décidée, de La Poste.


« Nous avons quitté cette commission parce que l’on vient d’apprendre que le rapport était déjà prêt et que la commission s’y prononçait pour l’ouverture du capital alors que les débats sont sensés durer jusqu’à jeudi » a déclaré à l’Associated Press le représentant de la CGT .


La CFTC, FO et SUD avaient déjà quitté la table des négociations fin octobre. Ces 3 Organisations, dans un communiqué diffusé mercredi, confirment leur identité de vue avec l’analyse de la CGT : « La commission a été créée pour répondre à la mobilisation contre la privatisation de La Poste, et a été largement instrumentalisé par l’Etat ».


Echaudés par les précédents (comme France Telecom), les affirmations « sur l’honneur » comme quoi la Poste restera dans le secteur public, ne modifient en rien les positions des Organisations Syndicales. Elles soulignent : « l’aspect social à la Poste est présenté sous un angle idyllique, inacceptable dans un établissement ou plus de 4300 emplois ont été supprimés ces 3 dernières années, et ou l’inégalité salariale règne toujours entre des agents de statuts différents ». Pour les syndicats de La Poste, l’objectif des Pouvoirs Publics est d’arriver, par quel que moyen que ce soit, de mettre à bas le statut d’établissement public de La Poste.


Les Organisations Syndicales appellent à la poursuite et à l’amplification du mouvement de contestation, lancé depuis le 23 septembre dernier.


Source :

Associated Press


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jeudi 4 décembre 2008

Salarié, n'envoie jamais demander pour qui sonne le glas, il sonne pour toi ...

Deux articles publiés sur Boursorama éclairent la vision du plan de sauvetage des banques que tire l’UE dans la conception ultra-libéralede l'économie qui est la sienne aujourd'hui.

Afin d'accorder son feu vert à l'injection de 10,5 milliards d'euros prévue par l'Etat français dans le capital de six établissements bancaires, et, plus généralement, aux mesures de recapitalisation de "banques saines", la Commission européenne pose ses conditions, rapportent mercredi Les Echos.

Bruxelles exige que les Etats qui recapitalisent leurs banques obtiennent une rémunération d'au moins 10% pour limiter les risques qu'une banque ne bénéficie d'un avantage concurrentiel déloyal en terme de coût du capital. Pour mémoire, le plan français prévoit un taux de rémunération de 8%.

Sur la question des dividendes, la Commission européenne aurait renoncé à interdire que les banques concernées par l'aide publique en distribuent. A la condition toutefois que "d'autres mécanismes soient prévus pour favoriser la revente rapide de ses titres par l'Etat", indiquent Les Echos.

Ouf, nous voici rassurés : Les actionnaires pourront, malgré la crise, percevoir une rémunération.

Et tant pis si, pour y parvenir, il faut en passer par la mise en oeuvre des Plans Sociaux déjà “bouclés” par les Directions Générales des banques, prêtes à “dégainer” au moment le pus propice pour rassurer le Marché et faire rebondir les cours des titres bancaires par l’annonce de “dégraissage” massifs.

Lesquels ont d’ailleurs déjà commencé

Crédit Suisse a annoncé ce matin une perte nette estimée à environ 3 milliards de francs suisses (1,95 milliard d'euros) à fin novembre 2008, "qui reflète l'impact des conditions de marché adverses durant le trimestre et des coûts liés au programme de réduction des risques, principalement au sein d'Investment Banking". Dans ce contexte, elle a annoncé la suppression de de 5300 postes, soit une diminution de 11% de l'effectif global actuel de la banque.

"Cette réduction ainsi que d'autres mesures pour améliorer l'efficacité en termes de coûts permettront une diminution des coûts de 2 milliards de francs, soit 9% de la base de coûts sur neuf mois annualisée de la banque pour 2008", a précisé Credit Suisse.

On ne sait pas encore le montant du dividende que va servir Crédit Suisse, ni l’ampleur du rebond boursier de son titre que cette annonce va entraîner.

On vit une époque formidable !

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mardi 2 décembre 2008















Le capitalisme n'en finit pas de mourir, avec son cortège de désastres sociaux


Les places boursières européennes et américaines ont gravement rechuté lundi à l'annonce de nouveaux indicateurs désastreux pour l'économie mondiale, et avec une entrée en récession "officielle" des Etats-Unis.

Wall Street, la première place mondiale qui avait regagné près de 10% la semaine dernière à la faveur d'un nouveau plan de sauvetage d'une banque américaine (Citigroup) et de la présentation de l'équipe économique de la future administration Obama, a plongé de 7,7%, l'indice Dow Jones clôturant à 8.149,09 points.

Dans la journée de lundi, les Bourses européennes étaient également descendues aux enfers : Paris a perdu 5,59% en clôture, Londres 5,19% et Francfort 5,88%. "L'inquiétude générale, c'est que la récession soit plus sévère qu'attendue", a indiqué à New York l'analyste Owen Fitzpatrick, de la Deutsche Bank.

Un organisme officiel américain, le NBER, a annoncé que la récession économique avait commencé aux Etats-Unis en décembre 2007 et se poursuivait toujours. Les dépenses de construction ont quant à elles baissé de 1,2% en octobre et l'indice ISM de l'activité industrielle a chuté à 36,2 points en novembre, au plus bas depuis mai 1982.

En Allemagne, les ventes de détail ont baissé de 1,6% en un mois en octobre, un recul plus fort que prévu.

Dans la zone Euro, dont en France, l'indice des directeurs d'achat pour le secteur manufacturier a touché un plancher historique en novembre, et la vente des voitures neuves vient d'enregistrer, dans notre pays, une plongée de -14% en novembre.

Face à la gravité de la situation, le président de la Réserve fédérale américaine, Ben Bernanke, a reconnu qu'une nouvelle baisse des taux était certes possible, mais qu'une telle mesure touchait à ses limites. Pourtant, contre vents et marées, les tenants de l'économie capitaliste libérale ne désarment pas, bien que les remèdes qu'ils appliquent se révèlent chaque jour un peu plus inopérants dans une économie mondiale au bord de la catastrophe :

La banque centrale dispose "de nombreux moyens" d'actions, s'est entêté Ben Bernanke, évoquant la possibilité que la Fed intervienne une fois de plus sur les marchés en mobilisant à nouveau les fonds publics pour acheter "en quantité importante" des bons du Trésor à long terme afin d'agir sur la courbe des taux.

Les investisseurs attendaient les décisions jeudi de la Banque centrale européenne (BCE) et de la Banque d'Angleterre (BoE).

La BCE, qui a déjà a baissé début novembre son principal taux à 3,25%, pourrait le réduire à nouveau de 0,50 ou 0,75 point, selon les analystes, afin de relancer l'activité dans la zone euro en récession, où le chômage, au plus haut depuis près de deux ans, a atteint 7,7% en octobre, dépassant une nouvelle et dramatique cote d'alerte.

De son côté, la Banque du Japon (BoJ) pourrait adopter mardi de nouvelles mesures pour aider les entreprises en difficulté à emprunter aux banques.

Dans un rapport publié lundi, l'ONU a souligné la nécessité d'un ensemble massif et coordonné de stimulants économiques pour contrer une dépression planétaire, reconnaissant ainsi que les mesures déjà appliquées par les pays développés se sont soldées par un échec, et que les fonds investis l'ont été en pure perte. Ce même rapport prévoit une croissance mondiale de 1% seulement en 2009, les pays développés étant les plus touchés avec une contraction de 0,5%.

De leur côté, les ministres des Finances européens examinaient un énième plan de relance de 200 milliards d'euros initié par la Commission européenne, afin d'élaborer "une première appréciation collective de ce qu'il convient de faire" (SIC).

Quant au plan français d'aide aux banques, Bruxelles continuait de refuser d'avaliser en l'état cette initiative, exigeant la garantie que les bénéficiaires n'en tireront pas un avantage concurrentiel. Ce qui risque d'achever de le rendre totalement inopérant et de renforcer l'absence de possibilté de financement des entreprises, et notamment des plus petites. Les faillites en cascade frappent à la porte.

Le secteur automobile apparaissait particulièrement touché. Le Japon a affiché une chute historique des ventes de véhicules neufs de 27,3% sur un an en novembre, soit le plus mauvais mois depuis 1969. Chez son voisin sud-coréen, les trois plus grands constructeurs, Hyundai, Kia et Daewoo, ont commencé à diminuer leur production.

En Europe, les immatriculations de voitures neuves se sont effondrées en Espagne (-49,6% en novembre sur un an), en Italie (-29,46%) et en France (-14%).

Le PDG des groupes français Renault et japonais Nissan, Carlos Ghosn, a redemandé un soutien des pouvoirs publics, sinon "les destructions d'emplois seront massives" selon lui.

Le mouvement a d'ailleurs déjà commencé : le fabricant britannique d'automobiles de luxe Aston Martin a annoncé qu'il supprimait 600 postes.

Mardi, les "Big Three" américains, General Motors, Ford et Chrysler, vont plaider devant le Congrès la nécessité d'un nouveau plan de sauvetage de 25 milliards de dollars, alors qu'une nouvelle baisse des ventes automobiles devrait être annoncée aux Etats-Unis.

La difficulté majeure, est que les Etats sont financièrement exsangue, et que les fonds à injecter, issus de l'accroissement virtuel de la masse monétaire (la bonne vieille "planche à billets"), ne feront que relancer une inflation encore plus destructrice des Pouvoirs d'Achat, principalement pour les classes les plus faibles et moyennes.

Dans le secteur financier sinistré et au bord du gouffre, la banque publique allemande BayernLB a annoncé le licenciement de 5.600 personnes d'ici 2013. En France, les Etablissements financiers "font semblant", mais dans les antichambres des Directions des banques, les Plans Sociaux sont déjà en cours d'élaboration.

Les prix du pétrole ont fortement reculé à New York, les investisseurs prenant acte de la décision de l'Opep de maintenir ses quotas de production inchangés, dans un contexte économique très morose. Le baril a fini à 49,28 dollars, en baisse de 5,15 dollars.

Le capitalisme n'en finit pas de mourir. Le fracas de l'effondrement social mondial est à notre porte. Il n'attendra pas 2012 ! C'est maintenant que les socialistes, socio-démocrates, et l'ensemble des partis de Gauche, en France, en Europe et dans le Monde, doivent prendre la véritable mesure de leurs responsabilités.

Sources :
AFP et Associated Press


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