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de Chambourcy et d’Aigremont

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Repères :



Section du Parti Socialiste de Chambourcy et d'Aigremont

Vous qui vivez dans la 6ème circonscription des Yvelines
dont le député est Pierre MORANGE ...


Vous qui vivez à CHAMBOURCY, dont le Maire est Pierre MORANGE ...

Sans doute avez-vous des opinions à faire valoir, des remarques à formuler, des critiques à émettre, des souhaits à exprimer ...

Vous pouvez contacter Claude VAN DE VELDE, candidate (suppléante) du Parti Socialiste dans la 6ème circonscription des Yvelines, secrétaire de la section du Parti Socialiste de Chambourcy et Aigremont :
claude.vandevelde@gmail.com


Ou l'association (Loi 1901) à votre disposition pour vous permettre d'échanger librement sur les choix de société qui vous concernent :

Les amis du Parti Socialiste de Chambourcy et Aigremont

Didier LEBAILLY - 3 Ruelle de l'Hérault - 78240 Chambourcy :

d.lebaillypschambourcy@neuf.fr



Et bien sûr, faire part de vos commentaires sur les textes publiés sur ce Site

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Chambourcy Socialiste
La publication de la section du Parti Socialiste
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(Première publication le 1er janvier 2007)


Dernières publications sur la colonne déroulante centrale :

le 31/03/2014



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Chambourcy et Aigremont
Municipales 2014 :


Bilan et analyses des socialistes de Chambourcy
(31/03/2014)


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Politique Nationale

Emploi : Embellie selon le BIT

(06/03/2014)

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Yvelines - ile de France

Toujours plus de pollution diésel avec Pierre Morange et Emmanuel Lamy !

(15/12/2013)

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Municipales 2014 :
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Analyses des résultats et bilan de la participation des socialistes à la campagne
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Bilan élections municipales 2014 à Chambourcy


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Chambourcy : l'élection du député confirmée
Le Parisien
(03/2013)

Presidentielles et legislatives 2012 : Quand l'UMP et Pierre Morange perdent leurs nerfs ...

(06/2012)

Navettes Chambourcy/Saint Germain.pdf
(20/10/2011)
Transports : Lettre ouverte à Pierre Morange
(15/09/2011)

Savez-vous que vous pouvez adresser un message électronique à Pierre Morange, pour lui faire part de votre satisfaction du service rendu sur la ligne R4 ?

Site Internet : "Mairie de Chambourcy" - Rubrique "Contacts - Envoyer un courriel au Maire"

Ou cliquez sur le lien ci-dessous, por accéder directement au "formulaire" en ligne sur "Mairie de Chambourcy - contacts avec les élus"

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Section 2

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Yvelines - Ile de France

Actualités :

Pierre Morange et Emmanuel Lamy
(Maires UMP de Chambourcy et St Germain) à contre courant de la lutte contre la pollution...

Cliquer sur le lien ci-dessous :
La région Ile-de-France se dirige vers la fin des bus diesel Les Échos

Sauf sur la ligne R4 Chambourcy-St Germain, les municipalités UMP, non contentes d'avoir réduit les rotations quotidiennes de 67 (en début de mandat), à 37, aujourd'hui, ont remplacé les bus "propres" au gaz, en service jusqu'ici, par des voitures diésel !

Sans compter que le précédent matériel était fabriqué par Heulliez (vous savez, cette Entreprise française au bord de la disparition) et que les véhicules de remplacement sont fabriqués par... Mercédes !

Elle n'est pas belle la vie ?

Toujours plus de pollution diésel sur nos communes ? Votez Morange/Lamy, votez UMP.

Acheter allemand pour mieux couler une Entreprise française ? Votez Morange/Lamy, votez UMP !
(15/12/2013)


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Section 3

Politique nationale et internationale

jeudi 26 juin 2008

Le retour de la censure et de la propagande

La désignation du président de France Télévision par l'exécutif, annoncée par Nicolas Sarkozy dans le cadre de la réforme de l'audiovisuel public, constitue une «régression» de plus, qui, sous couvert de «réforme», sape un nouveau pan des libertés individuelles, et non des moindres : celle de l’expression des journalistes.

On est revenu, d’un bond, à la période d’avant 1981, où la censure sévissait, et où «l’ORTF» devait être «la voix de la France»

Avec l'élection de François Mitterrand à la présidence, les socialistes, pour leur rendre leur liberté de parole, avaient coupé les liens entre le pouvoir exécutif et les chaînes de télévision et de radio, en faisant nommer les présidents de ces établissements par une autorité aussi indépendante que possible.

La main mise de l’Etat Sarkozyen sur les médias audiovisuels publics, sonne le glas de ce qui restait de l’information objective à France-Télévision et à Radio-France, au profit de la «propagande» ouverte en faveur du Pouvoir.

En d’autres temps, et en d’autres lieux, ces pratiques ont porté un nom.

Sources : AFP-Reuters-AP

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mardi 24 juin 2008


Le gouvernement s'attaque aux soins des personnes âgées et des malades gravement atteints



La preuve est faite : Les franchises médicales imposées le 1er janvier dernier étaient bien le préambule au démantèlement de notre système de santé. En les dénonçant avec force, le Parti Socialiste anticipait sur une réalité que l'on avait peine à imaginer. Aujourd’hui, avec un cynisme achevé, les mesures de déremboursement annoncées dans la perspective du projet de financement de la Sécurité sociale 2009, s’attaquent directement et s'en même s'en cacher, au principe de solidarité et de l'égalité devant les soins ... au détriment des personnes les plus fragilisées et les plus modestes. Proprement scandaleux !


"Le plan d’économies" vise, en effet, les Affections de Longue Durée, (ALD) c’est-à-dire, à la fois les malades les plus gravement atteints, et les personnes âgées.

Le gouvernement, en annonçant ces nouvelles attaques contre le "contrat social" qui, jusqu'à l'avènement de la Droite au Pouvoir, il y a 6 ans, réunissait les français, s'en prend directement à notre système de soin et foule aux pieds un principe fondamental de la république : l'égalité de tous devant la santé.

En réduisant le nombre de maladies prises en charge à 100% (comme l’hypertension artérielle ou certaines formes de diabètes), et en ne remboursant plus qu’à 35% les médicaments "à vignettes bleues" pour les malades en ALD, il s'acharne sur ceux qui ne sont déjà pas épargnés par le sort, et aux plus faibles d'entre nous.

Directement ou au travers de leurs mutuelles (pour ceux qui en ont), les patients devront payer pour des soins jusqu’ici totalement remboursés. La gravité d’une maladie n’est plus un critère de prise en charge totale des soins. Pire : Elle devient source "d'économie".

Cette annonce met en cause la politique de santé publique, et va réduire encore plus le pouvoir d’achat des plus fragiles.

Le gouvernement vient d'entrer -volontairement- dans une logique de déremboursements massifs des soins par notre système d’assurance maladie solidaire, pour "brader" ensuite au "Privé", ses compartiments les plus potentiellement rentables.

Nous avons changé de système de protection de la santé.

Les français vont-t-ils laisser faire ?

Source : Communiqué de Pascal TERRASSE,
Secrétaire national PS à la Santé,
et de Claude PIGEMENT, Responsable national à la Santé

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lundi 23 juin 2008

Béatrice Patrie, députée européenne, Parti Socialiste Européen, exprime son indignation après l'adoption, ce mercredi 18 juin, de la "directive de la honte" par le Parlement européen.

La proposition de directive qui était soumise au vote des parlementaires vise à harmoniser au niveau européen "les normes et procédures applicables dans les Etats membres au retour des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier", à savoir les conditions de détention puis d'expulsion des étrangers en situation irrégulière.

Aucun des amendements que le groupe PSE avait présenté n'a été adopté. Le texte reste donc inchangé par rapport au compromis indigne adopté par le Conseil le 5 juin dernier.

"Devant le texte retenu par les Ministres de l'Intérieur des 27 Etats membres au Conseil, la seule position politique possible était soit celle d'un rejet pur et simple du texte, soit celle d'un profond remaniement" a indiqué Béatrice Patrie. Je m'avoue interloquée par le rejet par la droite conservatrice et nationaliste de ce Parlement de l'amendement visant à garantir qu'aucun enfant mineur ne soit expulsé sans que l'on s'assure des conditions d'accueil dans le pays d'origine, à minima une personne de sa famille ou un tuteur légal. Il s'agit d'une violation manifeste des textes internationaux en matière de protection des droits des enfants. Par ailleurs, le maintien d'une durée de détention dans des centres de rétention pouvant aller jusqu'à 18 mois est totalement scandaleuse. L'absence de titre de séjour est un manquement d'ordre administratif et nullement un délit."

"Plus globalement, je suis extrêmement inquiète devant le durcissement ahurissant de la politique migratoire qui se met en place au niveau européen via les dispositions nationales ou communautaires. Nous devons sortir au plus vite de cette approche dogmatique qui criminalise les étrangers. Je m'engage pour ma part à défendre une politique migratoire fondamentalement différente en France et en Europe qui respecte le droit des étrangers et ouvre, enfin, des canaux légaux et régulés d'immigration de travail régulière. Cette Europe forteresse n'est pas acceptable."



Contact presse :

Valérie Picquet, assistante parlementaire tel: 00 32 478 34 43 71

www.beatrice-patrie.org

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vendredi 20 juin 2008

Le président du conseil régional d'Ile-de-France Jean-Paul Huchon a chiffré jeudi à 17,8 milliards d'euros les besoins d'investissements pour les transports en Ile-de-France d'ici à 2020, et demandé à l'Etat d'y contribuer.


Un mois après avoir été mis en cause par Nicolas Sarkozy à propos des problèmes du RER A, JP. Huchon a lancé jeudi un "plan de mobilisation", en présence d'élus de gauche, dont le maire PS de Paris Bertrand Delanoë, des présidents de la SNCF et de la RATP Guillaume Pépy et Pierre Mongin.

Mais les deux ministres invités, Jean-Louis Borloo (Ecologie) et Dominique Bussereau (Transports), n'ont pas participé à la réunion.

"L'Etat à son plus haut niveau montre qu'il est plus habile quand il s'agit de donner des leçons en matière d'aménagement du territoire que lorsqu'il est question de mettre en oeuvre des actions concrètes", a estimé Annick Lepetit (PS), adjointe aux transports de Bertrand Delanoë.

L'Etat était représenté par le directeur régional de l'équipement et le directeur des transports terrestres au ministère de l'Ecologie.

"Nous savons que le système de transports ne répond plus aux besoins, à cause d'un déficit d'investissements et de la croissance du trafic", a affirmé JP. Huchon, également président du Syndicat des transports d'Ile de France (STIF).

"Nous savons quelle est l'impatience des usagers, leur mécontentement, leur insatisfaction du fait des dysfonctionnements", a-t-il dit.

Selon un participant, M. Mongin (RATP) a reconnu qu' il ne pensait pas que la saturation du réseau arriverait si vite, tandis que le président de Réseau ferré de France, Hubert du Mesnil, a concédé "un manque d'anticipation".

JP. Huchon a présenté un projet en trois volets, passant "à court terme" par le traitement des "situations d'urgence", notamment les RER et la saturation de certaines lignes de métro, dont la ligne 13, et prévoyant "le changement en profondeur" du matériel "vétuste" de la SNCF et de la RATP.

Le RER A, ligne la plus fréquentée du monde, avec 400 malaises par an, nécessite 1,4 milliard d'euros d'investissements, dont 1,3 pour le remplacement des rames.

Le prolongement de la ligne 14 du métro, seule solution pour soulager la 13, coûtera 800 millions.

Avec l'effort pour les handicapés, les besoins d'urgence sont estimés à 5,6 milliards, dont 1,5 seulement inscrits dans le contrat de projets Etat-région (CPER).

Le plan préconise d'accélérer une dizaine de chantiers, dont les tangentielles ferrées Nord et Ouest, le tram-train Massy-Evry et le prolongement de la ligne 11 du métro.

Parmi les grands projets, figurent la rocade ferroviaire autour de Paris Arc Express (6 milliards) et le prolongement d'Eole à l'ouest.

Au total 17,8 milliards de besoins, dont 4,1 seulement programmés aujourd'hui.

Selon JP. Huchon, la région, les départements et le STIF peuvent apporter 12 milliards, avec leurs budgets, un emprunt et des ressources nouvelles (hausse du versement transport payé par les entreprises, abondement du fonds d'aménagement de la région, utilisation des plus-values foncières, dans les opérations d'aménagement, écotaxe)

Il demande donc à l'Etat d'apporter 5,8 milliards, dont 4,6 pour les infrastructures et 1,2 par apport en fonds propres à la SNCF et à la RATP pour leurs matériels roulants.

Source : AFP

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lundi 16 juin 2008

Après le NON irlandais au traité de Lisbonne

"On attend moins de la part de la France de petits arrangements qu’une véritable correction des politiques européennes". C'est en substance, la réaction du Parti Socialiste, après le vote des citoyens irlandais, et face aux "manipulations" annoncées, notamment par Nicolas Sarkozy, pour "passer outre" à l'expression démocratique.

Vouloir, demain, donner un signe aux Irlandais leur permettant éventuellement de voter oui, c’est forcément donner aussi un signe à tous les Européens. Il faut non pas se soucier de savoir ce qui pourrait faire changer d’avis les Irlandais, mais être plutôt capables de donner des signes à tous les Européens susceptibles d’être entendus par les Irlandais.

"Il faut livrer aux Européens des éléments qui leur parlent et qui les tirent dans le sens du progrès social. La question de l’emploi, du pouvoir d’achat et de l’Environnement doivent devenir les nouveaux piliers de la construction européenne.

C'est la voie à suivre pour être à la hauteur du non irlandais et faire en sorte que ce non puisse apporter des éléments nouveaux, non seulement aux Irlandais, mais à tous les Européens."

C’est en substance le message que François HOLLANDE portera jeudi lors de la réunion des leaders européens.

Source :
Communiqué du PS

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jeudi 12 juin 2008



Jean-Paul Huchon marque un point important en faveur de son schéma d'aménagement de la région Ile de France










Depuis l'élection de Nicolas Sarkozy, le futur de la région capitale fait polémique entre la Gauche, qui la dirige, et la majorité qui a fait de sa reconquête un objectif majeur des élections régionales prévues en 2010.

Parmi les nombreux sujets de discorde, le Schéma directeur de l'Ile de France (SDRIF), élaboré par le Conseil régional, et qui fixe, pour les 20 ans à venir, les grandes priorités en matière d'urbanisation, de logement, de transports, de développement économique et de préservation de l'environnement. Un document capital, destiné à remplacer le précédent SDRIF, imposé par l'Etat en 1994, mais sur lequel la majorité régionale et le gouvernement sont en désaccord depuis près d'un an. Au risque de voir sa mise en oeuvre bloquée, puisqu'elle nécessite un décret signé en Conseil d'Etat.

Dans cette partie de bras de fer, le président socialiste de la région a gagné une manche essentielle avec le feu vert, donné à son texte, par la commission d'enquête publique indépendante mise en place en octobre 2007.

Les 19 membres de la commission ont, à l'unanimité, émis un "avis favorable" qualifiant notamment de "pertinentes" les orientations générales du SDRIF, même s'ils ont assorti cet accord de mises en garde.

Parmi les "quatre réserves", essentiellement techniques, et les "15 observations" formulées par les enquêteurs, une des plus sensibles porte sur les moyens prévus pour atteindre l'objectif de 60.000 logements par an, qui constitue l'épine dorsale du SDRIF. Quant au projet de rocade ferroviaire autour de Paris, “Arc-Express”, les commissaires ont recommandé qu’il “soit affiché comme la priorité absolue” en matière de transport, et ont suggéré des “ajustements” pour “renforcer la robustesse de son volet économique”.

Des amendements que Jean-Paul Huchon s'est engagé à reprendre à son compte, se félicitant que le SDRIF soit "validé dans son économie générale".

Mais, il n'est pas sûr que cela suffise à François Fillon, qui au même moment, rendait publique une lettre envoyée, la veille, au Président de la Région IdF, dans laquelle il dénonçait le manque d'ambition du SDRIF “en matière de développement économique”.

Le Premier Ministre affirme que “le gouvernement ne peut accepter la vision d'une région urbaine en recul, en repli, qui n'est pas celle d'une métropole du plein emploi”, et menace de ne “pas approuver le document dans sa version actuelle”.

Un éventuel blocage du SDRIF ne répondrait qu'à "de basses raisons politiques", a expliqué Jean Paul Huchon devant la presse, en soulignant qu’un barrage idéologique politicien, érigé par la droite, conduirait à une “paralysie” et à un “effondrement économique” de la Région. “Nos adversaires trahissent les Franciliens et insultent l'avenir”, a-t-il déclaré, avant d’annoncer avoir saisi “trois grands juristes” : Guy Carcassonne, Yves Jegouzo et Roland Peylet, pour “dire quel est le pouvoir réel de l'Etat d'arrêter le SDRIF”.

Pour lui, le texte sera voté, quoi qu'il arrive, par le Conseil régional, le 25 septembre prochain. Il a donné au gouvernement jusqu'au 1er septembre pour lui faire part de ses "idées" et "conseils".

La Droite, minoritaire en Ile de France (comme dans la quasi totalité des autres régions), dont la politique économique et sociale est massivement rejetée par le pays (plus de 60% de mécontents), a, semble-t-il, décidé de mener une “guerre de tranchée” politicienne, sans souci de l’intêret des franciliens.

La marque d’un Pouvoir Présidentiel et Gouvernemental aux abois ?

Source : AFP

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mercredi 11 juin 2008

N’en déplaise à Nicolas Sarkozy, François Fillon et autres pourfendeurs des « 35h » : les salariés français plébiscitent les RTT

Près de 8 salariés sur 10 ne sont pas intéressés par le rachat de leurs jours de RTT (réduction du temps de travail), selon un sondage LH2-Institut de l'entreprise, publié mardi10 juin dans "Les Echos" (Média rarement soupçonné de gauchisme radical !). Les faits sont têtus, et les «manipulateurs» qui affirment sans vergogne que « les français ne sont pas satisfaits des 35h » en sont pour leurs frais. La propagande, même la mieux élaborée soit-elle, ne résiste pas à la réalité des chiffres.

A la question "cette année, pensez-vous vous faire racheter par votre entreprise des jours de RTT?", 79% des salariés répondent « non », contre une toute petite minorité (11%) qui répond : « oui ».

Chez les moins de 50 ans, le « non » atteint 82%, tandis que les 18 à 24 ans se prononcent contre, eux aussi, à 66%.

Le détail des réponses est particulièrement révélateur : Les employés, comme les cadres sont opposés au rachat des RTT à 81%. Il n’y a guère que les artisans et commerçants qui en acceptent le principe, et encore à 36% seulement.

Quant on sait que ces professions « indépendantes » ne sont pas assujetties aux 35h, leur réponse prend un sel particulier.

En vérité, ce que veulent ces 36 % de travailleurs non salariés (qui restent malgré tout minoritaires, convient-t-il de le souligner), c’est que leurs employés, ouvriers, commis … continuent à être «corvéables a merci» et à travailler sans limites, pour le meilleur enrichissement de leur «patron». Il en va de même pour une minorité équivalente (36%) de chefs d’entreprises, qui rêvent de l’abolition des 35h, au nom de prétextes faussement économiques, mais qui visent, en réalité, à conserver ou à reconquérir le «droit à l’exploitation» de ceux qui travaillent pour eux.

Il n’en demeure pas moins que pour les salariés des plus petites entreprises (ou, dans certains secteurs publics, comme les agents hospitaliers, par exemple), la réduction du temps de travail n’a pas été instituée dans l’esprit de la loi Aubry (Absence d'embauches correspondantes, notamment). C’est leur mise en œuvre, là où des insuffisances sont constatées, qu’il faut revoir.

Mais saisir le prétexte d’une mauvaise application envers une petite minorité, pour abroger la durée légale du travail de 35h par semaine, relèverait d’un «coup de force» rejeté par 80% des français.

Passer outre reviendrait à accepter le risque d'une déflagration sociale

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lundi 9 juin 2008


Conférence annuelle Internationale du Travail (CIT)



Organisée par l’Organisation Internationale du Travail (OIT) et le Bureau International du Travail (BIT), la Conférence annuelle Internationale du Travail a débuté le 29 mai dernier, sur les thèmes de l’application des normes, l’aptitude professionnelle, l'emploi rural, le développement et le travail décent, pour s’achever le 13 juin prochain.

Les ateliers "planchent" sur des "chantiers" d’une brûlante actualité : la possibilité d’exercer un travail convenablement rémunéré, la sécurité au travail et la protection sociale, le développement personnel et l’intégration sociale, la liberté d’expression, d’organisation et de décision ainsi que l’égalité de chances pour tous.

Dans ce cadre, les organisations syndicales du monde entier adhérentes, se sont engagées à prendre des initiatives récurrentes et organiseront des manifestations et mobilisations sur les thèmes “droits au travail”, “solidarité” et “abolition de la pauvreté et de l’inégalité”, pour dénoncer les insuffisances constatées partout dans le monde (la Mondialisation de l’exploitation des salariés est une réalité qui empire) : chômage, emplois de faible qualité, insécurité, précarité des revenus, violations des droits, inégalités, exploitation des travailleurs migrants, absence de représentation et de possibilité d’expression, insuffisance de la protection face à la maladie, aux handicaps et à la vieillesse.

Le mal est mondial … les remèdes devront l’être aussi. L’avenir de l’Humanité, en passe d’être confisqué à son profit par le libéralisme économique, est en jeu.

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mardi 3 juin 2008

La Droite au plus bas

Selon un sondage rendu public lundi par le Nouvel Observateur, la cote de satisfaction de Nicolas Sarkozy est au niveau le plus bas niveau enregistré depuis son élection le 6 mai 2007.

60% (+7) des personnes interrogées disent avoir une opinion négative sur le chef de l'Etat.

Quant à François Fillon, il enregistre 48% (+7) d’opinion négative.

Selon ce sondage, l'avis formulé par les Français sur l'action de Nicolas Sarkozy en faveur du pouvoir d'achat est négative à 80% (même les sympathisants de droite sont majoritairement insatisfaits : 57%, contre 39% de satisfaits).

Devant ce reniement massif de l’opinion publique, on peut valablement se demander ce qui reste de légitimité au Pouvoir en place, un an après les scrutins présidentiels et législatifs.

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