Mais, s'il y a désormais une position officielle du Parti sur ce Traité Institutionnel, François Hollande a défendu "la liberté, pour ceux qui ne se retrouvent pas dans le traité, de ne pas l'approuver" lors des votes au Parlement. "Nous ne sommes pas dans une logique de sanctions", a-t-il précisé, offrant ainsi la possibilité aux minoritaires de s'abstenir ou de voter contre.
Le BN ne s'est pas prononcé sur l'attitude à adopter lors de la révision constitutionnelle qui devrait précéder la ratification du Traité. Ce non-choix permet de ne pas brouiller "le message clair" du oui, tout en reléguant à l'arrière-plan, sans pour autant les occulter, les débats sur la procédure d’adoption.
De nombreux responsables socialistes réclament, en effet, un référendum, rappellant que c'était la position de Ségolène Royal pendant la campagne présidentielle, et celle de tout le parti.
Sources :
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