On liquide avant fermeture ?
C'est l'impression ressentie ces jours ci, en voyant s'accumuler les décisions prises à l'encontre et malgré l'opposition des citoyens, par les différentes composantes de la Droite au Pouvoir (Président de la République, Gouvernement, Grope UMP ...).
Après un nouvel allongement, de fait, de l'âge de départ en retraite par augmentation de la durée de cotisation (décision confirmée 3 jours après la mise en place de la "Réforme" rejetée massivement par les français), c'est à nouveau aux 35h qu'annonce vouloir s'attaquer l'UMP.
Pourquoi ce feu nourri contre tous les équilibres sociaux auxquels tiennent les français ?
Pourquoi revenir, en remettant en cause les 35 heures et la notion de durée légale du travail, sur l'acquis social le plus important depuis le Front Populaire ? Un acquis plébiscité, lui aussi, par l'immense majorité des salariés (réalitée atténuée par les sondeurs qui s'adressent à TOUS les français, y compris les non-actifs (chômeurs, retraités ...), qui n'ont évidemment pas le même regard sur les 35 h que les salariés).
La fuite en avant avant la débâcle ? Peut-être ... Le Gouvernement au service des seuls intérêts des plus riches, met les bouchées doubles pour aller dans le sens du MEDEF et des milieux financiers. L'objectif ? "Cadenasser" un ensemble de mesures toutes favorable aux classes possédantes avant le retour au Pouvoir de la Gauche ... Retour que même les plus optimistes des analystes politique de Droite pronostiquent aujourd'hui.
Les socialistes et leurs alliés de Gauche n'en auront que plus de difficultés pour revenir et abroger toute une série de Lois avant de pouvoir mettre en application leur Programme. Le temps "perdu" le sera au bénéfice des favorisés du régime, et qui sait ce que sera l'avenir ?
C'est probablement une des raisons essentielles pour laquelle l'UMP revient à la charge sur les 35 heures et propose d'en finir en trois ans avec la durée légale du travail par la négociation d'entreprise, au risque d'embarrasser l'Elysée à 10 mois de l'élection présidentielle. Mais là n'est pas l'essentiel ... Surtout quand on joue Nicolas Sarkozy perdant.
Cliquer sur le lien ci-dessous :
Après un nouvel allongement, de fait, de l'âge de départ en retraite par augmentation de la durée de cotisation (décision confirmée 3 jours après la mise en place de la "Réforme" rejetée massivement par les français), c'est à nouveau aux 35h qu'annonce vouloir s'attaquer l'UMP.
Pourquoi ce feu nourri contre tous les équilibres sociaux auxquels tiennent les français ?
Pourquoi revenir, en remettant en cause les 35 heures et la notion de durée légale du travail, sur l'acquis social le plus important depuis le Front Populaire ? Un acquis plébiscité, lui aussi, par l'immense majorité des salariés (réalitée atténuée par les sondeurs qui s'adressent à TOUS les français, y compris les non-actifs (chômeurs, retraités ...), qui n'ont évidemment pas le même regard sur les 35 h que les salariés).
La fuite en avant avant la débâcle ? Peut-être ... Le Gouvernement au service des seuls intérêts des plus riches, met les bouchées doubles pour aller dans le sens du MEDEF et des milieux financiers. L'objectif ? "Cadenasser" un ensemble de mesures toutes favorable aux classes possédantes avant le retour au Pouvoir de la Gauche ... Retour que même les plus optimistes des analystes politique de Droite pronostiquent aujourd'hui.
Les socialistes et leurs alliés de Gauche n'en auront que plus de difficultés pour revenir et abroger toute une série de Lois avant de pouvoir mettre en application leur Programme. Le temps "perdu" le sera au bénéfice des favorisés du régime, et qui sait ce que sera l'avenir ?
C'est probablement une des raisons essentielles pour laquelle l'UMP revient à la charge sur les 35 heures et propose d'en finir en trois ans avec la durée légale du travail par la négociation d'entreprise, au risque d'embarrasser l'Elysée à 10 mois de l'élection présidentielle. Mais là n'est pas l'essentiel ... Surtout quand on joue Nicolas Sarkozy perdant.
Cliquer sur le lien ci-dessous :
L'UMP revient sur les 35h, quitte à embarrasser l'Elysée
(Reuters - 05/07/2011)
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