Rétablir la vérité face aux manipulations de la Droite
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La Droite semble penser que dire n'importe quoi peut la sauver de la débâcle qu'elle connaît depuis la révélation (confirmation ?), chaque jour plus précise, d'une gestion économique de la Nation au bénéfice des "petits copains" les mieux nantis et les plus riches, alors que la grande masse des classes moyennes et des précaires est mise à saque. Un "braquage" légal qui justifie et éclaire d'un jour nouveau, ce qui pourrait apparaître comme incurie et inompétence de l'équipe constituée autour de lui par Nicolas Sarkozy, et qui n'est que scénario pré-établi.
Il est temps de rétablir la vérité des chiffres :
Alors que le gouvernement de la Gauche plurielle avait réduit la dette publique, la droite, revenue au Pouvoir, l'a faite exploser, pour favoriser sa clientèle électorale :
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Evolution de la dette publique : La Gauche la réduit, la Droite la creuse de manière abyssale dès avant l'implosion du capitalisme libéral et financier)
La Gauche Unie au Pouvoir a réduit régulièrement les déficits publics et sociaux, grâce, notamment, à l'application des 35 heures, et à la chute historique du chômage, qui en a résulté :
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Réduction des déficits publics et sociaux suite à la politique volontariste de la Gauche)
La Droite n'a même plus le préjugé favorable de la "saine" gestion économique. Le libéralisme appliqué par le tandem Sarkozy/Fillon révèle sa véritable finalité : La coupe claire des richesse nationales produites, au profit du petit nombre des nantis, et au détriment des plus faibles et des classes moyennes, véritablement "hold-huppées" pour enrichir toujours plus les plus riches.
Seuls les privilégiés de cette politique "de classe" continuent de soutenir le Pouvoir en Place : Un tout petit tiers de la population, même après la prise de parole du Président de la République, dont le pouvoir de persuasion apparaît gravement émoussé.
Les deux autres tiers ont ouvert les yeux. La pseudo "réforme" des retraites se révèle être un puissant catalyseur de cette prise de conscience, tant le cynisme et l'injustice, conséquences des mesures annoncées en Conseil des Ministres, sont révélateurs des visées poursuivies par le Pouvoir. Contre vents et marées, le Gouvernement entend les imposer "de force", bravant l'unanimité du Mouvement Syndical, et ignorant superbement le rejet massif des actifs d'aujourd'hui.
Le 7 septembre, à l'appel de l'Union Syndicale, les salariés du Public et du Privé seront dans la rue, au coude à coude. Si l'objectif gouvernemental était de "diviser pour régner", c'est raté !
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