Nicolas Sarkozy choisit l'épreuve de force
Le pacte social est rompu !
Enfermé dans ses certitudes idéologiques, le chef de l'État décide de passer en force sur le sujet des retraites. Ce qui restait de l'équilibre social et sociétal patiemment mis en place à la Libération, a volé en éclat. Le Pouvoir fait front et refuse de prendre en compte le rejet manifesté ultra-majoritairement par son Opinion Publique (Plus de 70% des Français approuvent et soutiennent le mouvement de contestation de la "réforme" des retraites concoctée par la Droite Libérale la plus sectaire que la France ait connue).
La Démocratie est bafouée. La Nation est désormais aux mains d'un clan qui ne sert que ses propres intérêts. Tout est désormais possible, y compris le pire. Nicolas Sarkozy et son Gouvernement porteront la seule responsabilité des dérapages que le désespoir de la plus grande partie de la population pourrait entraîner. Corvéables à merci, appauvris et précarisés au profit d'un petit nombre de privilégiés, près des 3/4 de la population française est au bord de la rupture irréversible. Les Organisations Syndicales (mêmes celles réputées les plus modérées) resserrent leurs liens, sans pouvoir garantir de contenir et de maîtriser la violence du mécontentement que l'entêtement d'un homme, aveuglé par son propre pouvoir, pourrait engendrer. Les annonces d'aménagements à la marge de mesures imposées pour satisfaire le MEDEF et les monopoles financiers, risquent d'être l'étincelle qui déclenche le cataclysme.
FO et Solidaires ont déjà dépassé le stade de la revendication de négociations avec un Gouvernement atteint de cécité et de surdité (même si l'unité syndicale reste d'actualité). La "base" est au seuil de rupture. Personne ne sait ce qu'il adviendra demain.
C'est ce qui point derrière les commentaires des médias et observateurs objectifs.
Commentaires :
Enfermé dans ses certitudes idéologiques, le chef de l'État décide de passer en force sur le sujet des retraites. Ce qui restait de l'équilibre social et sociétal patiemment mis en place à la Libération, a volé en éclat. Le Pouvoir fait front et refuse de prendre en compte le rejet manifesté ultra-majoritairement par son Opinion Publique (Plus de 70% des Français approuvent et soutiennent le mouvement de contestation de la "réforme" des retraites concoctée par la Droite Libérale la plus sectaire que la France ait connue).
La Démocratie est bafouée. La Nation est désormais aux mains d'un clan qui ne sert que ses propres intérêts. Tout est désormais possible, y compris le pire. Nicolas Sarkozy et son Gouvernement porteront la seule responsabilité des dérapages que le désespoir de la plus grande partie de la population pourrait entraîner. Corvéables à merci, appauvris et précarisés au profit d'un petit nombre de privilégiés, près des 3/4 de la population française est au bord de la rupture irréversible. Les Organisations Syndicales (mêmes celles réputées les plus modérées) resserrent leurs liens, sans pouvoir garantir de contenir et de maîtriser la violence du mécontentement que l'entêtement d'un homme, aveuglé par son propre pouvoir, pourrait engendrer. Les annonces d'aménagements à la marge de mesures imposées pour satisfaire le MEDEF et les monopoles financiers, risquent d'être l'étincelle qui déclenche le cataclysme.
FO et Solidaires ont déjà dépassé le stade de la revendication de négociations avec un Gouvernement atteint de cécité et de surdité (même si l'unité syndicale reste d'actualité). La "base" est au seuil de rupture. Personne ne sait ce qu'il adviendra demain.
C'est ce qui point derrière les commentaires des médias et observateurs objectifs.
Commentaires :
L'Elysée passe outre à l'opposition syndicale sur les retraites
(Reuters - 08/09/2010)
Nicolas Sarkozy a choisi la poursuite de l'épreuve de force pour faire passer sa réforme des retraites en excluant de toucher aux mesures d'âge qui sont au coeur du projet et cristallisent l'opposition de syndicats.
Nouvelle journée d'action le 23 septembre sur les retraites
(Reuters - 08/09/2010)
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