Second Tour des Présidentielles :

Le choix est simple :

Le vote Ségolène Royal,

ou Sarkozy/fillon/Alliot-Marie/Juppé

pour les 5 ans à venir !

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(Opinion Perso)

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Lettre ouverte à un camarade antilibéral

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Ton combat contre la droite est le mien. Tes options anti libérales sont fondamentalement les miennes.

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Comme toi, je fais l’analyse que toutes les difficultés que connait notre société, et les reculs sociaux qu’elle enregistre, proviennent de l’application d’un système économique et social inhumain, dans lequel tout est organisé pour que les plus riches le soient toujours plus, et les autres (l’immense majorité des classes sociales les plus faibles et moyennes) maintenus dans la précarité et l’exploitation.

Partout où le libéralisme sévit (USA, GB, ex URSS ...), les dégats humains sont considérables, la pauvreté s’accroit à mesure que les richesses prolifèrent au bénéfice des seuls priviliégiés du système (1/3 environ de la population des USA vit au dessous du seuil de pauvreté, 1/4 en GB, 2 millions 1/2 de personnes en France, nombre en augmentation constante depuis 5 ans ...).

Ton combat est le mien, camarade antilibéral. Comme toi, je veux rompre avec cet “ordre économique” qu’on nous présente comme une fatalité ... alors qu’il n’est que la conséquence de conventions établies par un petit groupe de “décideurs”.

“L’Economie” n’est pas une “science exacte”, mais le résultat de “règles du jeu” édictées par quelques uns !

Nos objectifs sont communs, mais nos chemins pour y parvenir peuvent diverger.

Je pense que “l’économie de marché” est, malgré ses imperfections, le système sociétal qui permet le meilleur ajustement entre les intérêts particuliers et généraux (C’est pourquoi j’ai choisi le PS et non un autre Parti) ... A condition impérative et absolue, cependant, que le Marché soit encadré, réglementé et orienté, pour satisfaire les besoins des populations et non les intérêts des apporteurs de capitaux ou ceux des groupes financiers multinationaux. Ce qui disqualifie d’office le capitalisme libéral, qu’il soit "ultra" ou non.

Oui, le marché doit être encadré. Oui, l’Etat doit intervenir dans l’économie pour la mettre au service des hommes et non des intérêts du grand capital. Oui, l’OMC doit être refondé et recevoir pour mission de réglementer les échanges internationaux dans le sens de la recherche de l’équité, et non les déréglementer et les libéraliser, comme c’est le cas aujourd’hui. (Le même raisonnement tient pour le FMI, la Banque Mondiale, ou la BCE). Oui, je revendique le renforcement des Services Publics et le controle de l’état sur certains “secteurs clef” de l'économie, comme l’énergie, par exemple (ce qui peut impliquer des renationalisations, ici ou là, au moins à 50%, et la réouverture de négociations avec l’UE)

C’est pourquoi je ne suis pas “social-démocrate-libéral ...” ou je ne sais quoi encore, mais “Socialiste” tout court !

Comme toi, j’aurai préféré que Ségolène Royal puisse s’appuyer, pour gagner, sur les seules voix recueillies auprès de sa famille naturelle : La Gauche, rassemblée sur son nom. Hélas, dans cette seule configuration, elle ne totalise que ... 36% des voix, et le candidat le la droite libérale la plus dure , idéologiquement et répressivement parlant, est élu sans un soupçon de doute !

Quelle autre alternative que d’ouvrir vers la Droite la plus modérée : François Bayrou, et son électorat ? Aucune “Majorité Présidentielle” ne se construira autrement. D’où le rapprochement UDF/futur parti "Démocrate”/DSK/“sociaux-démocrates”. Rapprochement qui en appelle un autre, pour équilibrer la future Majorité Présidentielle, celle proposé par Henri Emmanuelli, rassemblant tous les socialistes antilibéraux. (A voir les conditions, bien sûr - Cf ci-dessous : Majorité Présidentielle : La recomposition politique ?).

Mais aujourd’hui, l’urgent est ailleurs :

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Tu as pu constater, mon camarade antilibéral, que Ségolène Royal, face à François Bayrou comme face à Nicolas Sarkozy dans le débat télévisuel du 2 mai, où elle a été particulièrement pugnace, n’avait strictement rien lâché du programme économique et social de son Pacte Présidentiel (émanation du Projet Socialiste). Ce programme s’inscrit, nul ne peut le nier, en opposition structurelle au libéralisme (c’est ce que François Bayrou, d’ailleurs et logiquement, lui repproche).

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Ces propositions ne vont pas assez loin, à ton goût (comme au mien), dans le sens de la rupture ? Oui, mais c’était le seul “plus petit dénominateur commun” possible pour rassembler à Gauche ! Si le "Pacte Présidentiel" attire à la fois les critiques de François Bayrou, comme celles de Nicolas Sarkozy, c’est bien la preuve qu’il va dans la bonne direction (celle que nous souhaitons, toi et moi) !

Alors, quel choix reste-t-il, sinon de voter Ségolène Royal ? Laisser le champ libre à Nicolas Sarkozy est-il envisageable ? Quelle garantie as-tu que “la révolution prolétarienne” soit pour demain ? Qu’elle garantie as tu qu’elle va prendre naissance en France, alors qu’elle n’a pas émergé en Grande Bretagne, malgré les dynamitages sociaux de Margareth Tatcher, et des laminages du droits du travail et de toutes les autres protections, largement aussi conséquents que ceux en préparation par le duo Sarkozy/Fillon ?

Personnellement, je te propose un “contrat”, cher camarade antilibéral :

1) Empêcher le pire : l’élection de Nicolas Sarkozy en votant Ségolène Royal.

2) Attendre de voir QUI notre Présidente appelle comme premier ministre, et quelle sera la composition de son gouvernement.

3) Juger objectivement de sa déclaration de politique générale.

4) Rester vigilant, au sein de la Majorité Présidentielle, pour éviter tout dérapage (mais pourquoi présupposer qu’il va nécessairement s’en produire ?)

5) En cas (hypothètique) d’oubli du Pacte Présidentiel, de se retrouver ensemble dans la rue, si nous ne parvenons pas à nous faire entendre autrement ! (Ce sera, de toute façon, plus facile que face à l’état policier-répressif de Nicolas Sarkozy !)

Tu vois, camarade antilibéral, je suis personnellement prêt à m’engager avec toi.

J’espère que tu es d’accord pour faire de même, en intégrant, avec les Organisations qui te représentent, une Majorité Présidentielle dans laquelle tu as toute ta part, et le droit de faire entendre ta voix, celle qui aura permis, aussi, de faire élire Ségolène Royal (Voix qu’elle sait entendre, quand, par exemple, elle rappelle que, pour elle non plus, nos vies ne doivent pas être sacrifiées aux profits, et que nos Valeurs ne sont pas “boursières”). Es-tu prêt à signer ?

Chiche ?

Didier Lebailly

Socialiste

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Majorité Présidentielle :

Recomposition politique ?
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(Opinion perso)

Ségolène Royal réunit, sur son nom, au second tour des Présidentielles, l'ensemble de la Gauche (ce qui n'était plus arrivé depuis des temps immémoriaux - 1974 ?) :

Dès avant le premier tour : PS, bien sûr, MRC de Jean Pierre Chevènement et centristes de Gauche (PRG). Au second Tour, la Gauche plus radicale, dans un front "Anti Sarkozy" réuni autour d'elle : le PC, les Verts, mais aussi Olivier Besancenot, Arlette Laguiller et José Bové.

Malgré cette union la plus large, l'addition des scores du 1er tour est sans appel : La Gauche ne dépasse pas, même sur ces bases, 36% des voix !
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D'où la nécessité, pour gagner, de "mordre" sur l'électorat du Centre Droit (UDF), bien que, malgré quelques "soubresauts médiatiques", ses représentants au Parlement aient constamment fait partie de la Majorité Présidentielle de Jacques Chirac, et voté les budgets de ses gouvernements successifs (à l'exception du tout dernier) ... Malgré, aussi, que les 3/4 des députés UDF aient déjà fait allégeance à Nicolas Sarkozy.

Cette recherche de convergences avec une partie (même modérée) de la Droite, ne correspond pas (loin de là) à mes souhaits, mais c'est une nécessité pour barrer la route à l'avènement d'une politique ultra-libérale des plus dures, auprès de laquelle celle que nous subissons depuis 5 ans risque de nous apparaître comme une aimable douceur.
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J'en admet donc la nécessité, d'autant :
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* qu'il s'agit de rassembler sur la base "du Pacte Présidentiel", lequel est une émanation du Projet Socialiste, approuvé par une très large majorité de ses militants,
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* que cette "recherche de convergences" ne s'accompaagne d'aucune "négociation", comme vient de le rappeler François Hollande,
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* et qu'enfin, Ségolène Royal n'a rien cédé de ses orientations socialistes face à François Bayrou (dans un débat qui a fait honneur à la démocratie et dans lequel notre candidate a été remarquable).
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Il n'en demeure pas moins que si l'après-élection de Ségolène Royal devait s'organiser à partir d'une Majorité Présidentielle articulée autour d'un Pôle "Social-Démocrate (DSK)/Droite Modérée(François bayrou)", cette configuration ne saurait satisfaire nombre de socialistes, dont je suis.
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Dans ce contexte, l'annonce, par Henri Emmanuelli, de la recherche d'un autre Pôle, qui ferait contre-poids au premier, regroupant les Socialistes antilibéraux du PS, comme ceux qui militent hors de notre Parti, est une nécessité à mes yeux, pour rééquilibrer, équitablement, autour de Ségolène Royale, Présidente, l'ensemble des forces qui auront permis son élection.
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Sous quelques réserves, cependant :
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* Ce rapprochement n'est pas plus d'actualité que le premier évoqué (DSK/Bayrou). L'essentiel, aujourd'hui, est de faire gagner la Gauche tout entière et sa candidate : Ségolène Royal, pour que les mesures du Pacte Présidentiel puissent être appliquées.

* Ce Pôle "Socialiste antilibéral" doit clairement se positionner à l'intérieur de la future Majorité Présidentielle, en soutien à Ségolène Royal et au Pacte qu'elle défend.
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* Quelles seront ses modalités de constitution et son statut par rapport aux structures actuelles du PS ?
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* Qu'en pensent nos alliés conjoncturels de la gauche plus radicale ?
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En attendant d'en débattre sereinement et démocratiquement, le premier, le seul objectif, reste d'éliminer Nicolas Sarkozy de la course à l'Elysée, et de barrer la route à la politique ultra libérale qu'il concocte avec son âme damnée : François Fillon.
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Didier LEBAILLY
Socialiste
(samedi 28 avril 2007 18h30)
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.Faire du neuf avec du vieux ?
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Comme disait ma grand’mère : “Quand les poules auront des dents” !
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C’est pourtant la couleuvre que voudraient nous faire avaler les candidats “sortants” (Nicolas Sarkozy et son “eminence grise-éventuel futur premier ministre” : François Fillon), en se présentant comme les candidats du renouveau et de la rupture.

Nos duettistes oublient qu’ils sont co-responsables de la politique menée par la Droite depuis 5 ans, et dont chacun a pu mesurer les effets :

Nicolas Sarkozy, ministre ou ministre d’Etat, sans discontinuer (Intérieur/finances/intérieur) sous le gouvernement Chirac/Raffarin, dont l’impopularité (souvenez-vous de la débacle de la Droite aux “Régionales”) n’a d’égale que celle du gouvernement Chirac/Villepin (70% de la population soutenant la révolte populaire contre le CPE).

François Fillon, auteur d’une “réforme” des retraites, qui n’a fait que rendre plus difficile son accès aux travailleurs, sans modifier ses modalités de financement -pour ne pas remettre en cause la rentabilité des revenus des capitaux- et qui, aujourd’hui, est au bord de la faillitte (les retraités qui voient le pouvoir d’achat de leur pension s’effilocher de mois en mois savent ce que cela veut dire).

François Fillon, initiateur d’une “réforme” de la Sécurité Sociale, qui a vu la multiplication des déremboursements préjudiciables aux moins favorisés et aux classes moyennes, pour favoriser et préparer la privatisation du système de protection santé, au bénéfice des plus riches.

Le “changement” pour demain, façon Sarkozy/Fillon, c’est probablement une nouvelle “réforme” du même tonneau ultra libéral, dynamitant le code du travail et la protection des salariés, au bénéfices du MEDEF, des puissances financières et de l’argent, auxquelles ils sont l’un et l’autre inféodés.

Nos illusionnistes voudraient occulter leurs brillants résultats gouvernementaux :

l’accroissement vertigineux de la dette (alors qu’elle n’avait fait que baisser au long du gouvernement de la Gauche plurielle de Lionel Jospin), et la remontée du chômage au niveau qui était le sien avant l’avènement du même Gouvernement de la Gauche Plurielle, qui, lui, avait redonné du travail à 1.500 000 personnes, qui consommaient, et cotisaient aux régime sociaux, ce qui permettait d’équilibrer les comptes de la Sécurité Sociale (et Oui ...)

Mais nos Dupont/Dupond sortants sont, après Margareth Thatcher et Ronald Reagan, des adeptes des théories néo-libérales de Milton Friedman, pour qui, un volant conséquent de chômage est indispensable pour répondre aux fluctuations du Dieu Marché !

Personne ne peut être dupe : Une nouvelle opération de “main basse” sur l’économie française au bénéfice des nantis, se cache derrière les sourires de nos “candidats sortants” ...

La seule rupture possible avec la politique anti-sociale menée depuis 5 ans

s’appelle Ségolène Royal.

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A chacun de prendre ses responsabilités
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Au second tour des présidentielles, la candidate du Parti Socialiste, du PRG et du MRC, est en situation, avec ses alliés déclarés du second tour (Verts, Parti Communiste), et grâce à la mobilisation de l’ensemble des électeurs de Gauche, unis dans le “front Anti-Sarkozy” auquel appellent Olivier Besancenot, Arlette Laguiller et José Bové, de mettre fin à 5 ans de politique anti sociale menée par le trio Chirac/Raffarin/Villepin, avec la complicité (très)active et constante de Nicolas sarkozy.

Au second tour, les électeurs qui ont choisi une autre voie que celle de la Droite dure et la plus inhumainement libérale, incarnée par l’UMP, sont face à leurs responsabilités.
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L’espoir renaît, pour tous les laissée pour compte (RMistes, Chômeurs, Travailleurs pauvres, petits travailleurs indépendants et Dirigeants de petites entreprises), d’une nouvelle répartition des richesses produites sur la base de la Solidarité et du redémarrage du Progrès Social.
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Un rééquilibrage entre les revenus du Travail et ceux des capitaux investis est à nouveau envisageable. Une reconsidération des valeurs Humaines par rapport aux Valeurs Boursières, peut mettre un coup de frein aux détournements de fonds organisés légalement par le MEDEF, les cadres (très) supérieurs des entreprises du CAC 40, et une poignée de “Décideurs économiques et politiques”, qui, depuis 5 ans, mettent en coupe claire, à leur seul profit, l’économie du pays.

Un changement sociétal profond, sur la base de la responsabilisation et de la protection des citoyens, peut être engagée.
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Une Europe Nouvelle, socialement et économiquement repensée et rénovée peut être mise en chantier.
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Le choix est clair : Toute autre attitude que le vote Ségolène Royal pour le second tour, revient à voter pour Nicolas Sarkozy...

et l’aggravation de la politique que nous subissons

depuis 5 ans.
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Jusqu'au soir du 2ème tour, notre responsabilité sera de placer face à cette unique alternative, tous ceux que nous fréquentons : famille, amis, collègues, connaissances ... Notre “travail de fourmis” doit se pousuivre et s’intensifier, pour être encore plus performant.
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Le 6 mai, nos valeurs de Gauche peuvent connaître un regain de vigueur ... ou disparaître peut-être à jamais.

1er tour : Résultats définitifs des votes :

Nationaux :

Inscrits : 44 472 867

Votants : 37 255 846 (83,77%)

Exprimés : 36 723 900

Blancs et nuls : 531 946

Ont obtenu :
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Olivier BESANCENOT : 1 498 780 (4,08%)
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Marie Georges BUFFET : 707 294 (1,93%)
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Gérard SCHIVARDI : 123 577 (0,34%)
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François BAYROU : 6 820 882 (18,57%)
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José BOVE : 483 062 (1,32%)
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Dominique VOYNET : 576 740 (1,57%)
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Philippe de VILLIERS : 818 645 (2,23%)
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Ségolène ROYAL : 9 501 214 (25,87%)
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Frédéric NIHOUS : 420 759 (1,15%)
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Jean Marie LE PEN : 3 834 996 (10,44%)
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Arlette LAGUILLER : 487 940 (1,33%)
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Nicolas SARKOZY : 11 450 011 (31,18%)

CHAMBOURCY :
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Inscrits : 3 913
Votants : 3 441 (87,93%)

Exprimés : 3 408

Blancs et nuls : 34

Ont obtenu :
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Olivier BESANCENOT : 46 (1,34%)
.

Marie Georges BUFFET : 24 (0,70%)
.

Gérard SCHIVARDI : 5 (0,14%)
.

François BAYROU : 768 (22,53%)
.

José BOVE : 18 (0,52%)
.

Dominique VOYNET : 50 (1,46%)
.

Philippe de VILLIERS : 74 (2,17%)
.

Ségolène ROYAL : 531 (15,58%)
.

Frédéric NIHOUS : 24 (0,70%)
.

Jean Marie LE PEN : 204 (5,98%)
.

Arlette LAGUILLER : 15 (0,44%)
.

Nicolas SARKOZY : 1 649 (48,38%)
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AIGREMONT :
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Inscrits :690
Votants : 623 (90,20%)
Exprimés : 616
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Ont obtenu :
.
Olivier BESANCENOT : 8 (1,30%)
.
Marie Georges BUFFET : 1 (0,16%)
.
Gérard SCHIVARDI : 12 (0,32%)
.
François BAYROU : 169 (27,44%)
.
José BOVE : 1 (0,16%)
.
Dominique VOYNET : 6 (0;97%)
.
Philippe de VILLIERS : 8 (1,30%)
.
Ségolène ROYAL : 67 (10,88%)
.
Frédéric NIHOUS : 4 (0,65%)
.
Jean Marie LE PEN : 33 (5,36%)
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Arlette LAGUILLER : 1 (0,16%)
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Nicolas SARKOZY : 316 (51,30%)

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