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Politique familiale
Puisqu'il fallait combler le
déficit provisoire de la Branche "famille" de la Sécurité Sociale (qui retrouvera "naturellement" son équilibre dans les 5 ans à venir, évolution démographique oblige), le Gouvernement a choisi de maintenir le principe du
versement égalitaire des prestations (exception française, source de réussite de sa politique familiale), tout en poursuivant son objectif
d'équité sociale, en abaissant le plafond de la part fiscal pour enfant à charge. (Vous savez, cet abattement qui fait qu'un enfant de famille riche ou aisée "vaut" plus cher que celui d'une famille pauvre ou précaire !)
Et que la Droite arrête de dire que ce sont les classes "moyennes" qui vont payer !
Il ne faut pas oublier qu'après
10 ans de politique de droite en France,
la moitié des salariés et des travailleurs indépendants ne paient pas l'impôt sue le revenu, parce qu'ils n'en ont plus les moyens ! (la part de redistribution des richesses produites en direction des salariés a été réduite de 20% pendant que celle allouée aux actionnaires augmentait de 20 %).
Aujourd'hui, les revenus d'une
"famille moyenne" composée de 2 adultes et de 2 enfants oscille entre
3000 et 3500 euros mensuels.
Elle est là, la classe moyenne en 2013 ! Loin, très loin (hélas !) des revenus des premiers contribuables touchés par l’abaissement du plafond du quotient familial !
Cliquer sur le lien ci-dessous : Un texte, amendé par les deux Assemblées, qui renforce les contrôles sur les Établissements Financiers, et instaure une première séparation tangible entre les opérations spéculatives et celles utiles à l’Économie réelle. Autrement dit, un texte (qui peut encore être clarifié par le débat parlementaire), qui a pour vocation d'ouvrir la voie à une séparation étanche entre le "casino", les besoins de financement des Entreprises productrices et créatrices d'emploi, et les dépôts des clients.Cliquer sur le lien ci-dessous :